On croise toujours deux extrêmes chez les freelances :
ceux qui facturent 170 € la journée…
et ceux qui facturent 2 000 €.
Et la réalité, c’est que les deux galèrent autant à en vivre.
Facturer trop bas peut aider à décrocher ses premières missions, mais ce n’est pas un modèle viable :
au moment où les aides disparaissent, l'activité ne suit plus.
Facturer très haut n’est pas mieux si votre positionnement, vos preuves sociales ou vos résultats ne sont pas au niveau.
Une grille tarifaire n’est pas une image de marque :
c’est une équation entre valeur réelle, marché, expérience et demande.
Aujourd’hui, mon TJM est entre 750 et 1 000 € selon les missions.
Et s’il fonctionne, c’est pour une seule raison :
je peux le vendre, je peux le tenir et il me permet d’en vivre.
Si vous ne savez pas par où commencer pour fixer le vôtre, voici trois étapes simples :
1️⃣ Observer le marché
Partez de votre niche, comparez les profils avec avis sur Malt, analysez la fourchette.
Ça vous donnera un cadre réaliste.
2️⃣ Évaluer la valeur pour le client
Combien de temps votre mission fait-elle gagner ?
À combien de personnes ?
Quel ROI direct ?
Votre tarif doit être cohérent avec l’impact.
3️⃣ Augmenter progressivement
Si vous êtes dans la team “je n’ose pas facturer”,
mon conseil : +5 à +10 % à chaque nouveau client.
Lentement mais sûrement, vous vous rapprocherez du tarif qui vous permet d’en vivre.
Parce qu’au fond, la seule vraie question n’est pas “quel est le bon TGM ?”
mais : à partir de combien pouvez-vous tenir durablement votre activité ? 😉
#freelance #nocode #tjm #shorts
ceux qui facturent 170 € la journée…
et ceux qui facturent 2 000 €.
Et la réalité, c’est que les deux galèrent autant à en vivre.
Facturer trop bas peut aider à décrocher ses premières missions, mais ce n’est pas un modèle viable :
au moment où les aides disparaissent, l'activité ne suit plus.
Facturer très haut n’est pas mieux si votre positionnement, vos preuves sociales ou vos résultats ne sont pas au niveau.
Une grille tarifaire n’est pas une image de marque :
c’est une équation entre valeur réelle, marché, expérience et demande.
Aujourd’hui, mon TJM est entre 750 et 1 000 € selon les missions.
Et s’il fonctionne, c’est pour une seule raison :
je peux le vendre, je peux le tenir et il me permet d’en vivre.
Si vous ne savez pas par où commencer pour fixer le vôtre, voici trois étapes simples :
1️⃣ Observer le marché
Partez de votre niche, comparez les profils avec avis sur Malt, analysez la fourchette.
Ça vous donnera un cadre réaliste.
2️⃣ Évaluer la valeur pour le client
Combien de temps votre mission fait-elle gagner ?
À combien de personnes ?
Quel ROI direct ?
Votre tarif doit être cohérent avec l’impact.
3️⃣ Augmenter progressivement
Si vous êtes dans la team “je n’ose pas facturer”,
mon conseil : +5 à +10 % à chaque nouveau client.
Lentement mais sûrement, vous vous rapprocherez du tarif qui vous permet d’en vivre.
Parce qu’au fond, la seule vraie question n’est pas “quel est le bon TGM ?”
mais : à partir de combien pouvez-vous tenir durablement votre activité ? 😉
#freelance #nocode #tjm #shorts

